Argarante
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Date d'inscription : 01/03/2006
 |  Sujet: Ascarane,le dernier royaume / Chapitre I Dim 19 Mar à 17:09 | |
| Chapitre I Un passé jusqu'a lors inconnu. Il marchait déja depuis des heures, sans avoir trouver âme qui vivent dans ce petit chemin de campagne. Grande était pourtant sa volonté de s'arreté en plein milieu du chemin, et de boire deux ou 3 verres de rhum. Mais il ne pouvait le faire, il n'avait rien, pas d'eau ni de nourriture, il n'avait pas pensé que le chemin serait si grand ... il n'avait pas pensé, qu'il allait surement mourrir de soif et de faim. Mais il ravala ses pensées ameres, et décida d'hausser le pas, quitte à être éssouflé dans les prochaines minutes, tandis que le soleil se levait de plus en plus dans le ciel d'un bleu d'encre qui annonçait la pluie arrivante ... Argarante, d'un long soupir qui en disait long, commença à courrir, afin d'évité la pluie menacante qui allait venir. Il se devait de trouver ce royaume, dont certains de ses amis disaient qu'il n'existait pas. Ce royaume, Ascarane, était pour la plus part de la population des Terres Argentés une légende, un mythe. En effet, on disait que quiconque trouverait ce royaume, apprendrait la sagesse, l'art du sabre, la force. Mais Argarante, lui, se contrefichait de tout ses dires, il n'avait que faire de ses paroles ingrates et sans intelligence, il était obligé de trouver ce royaume, dans le but de s'améliorer, de devenir pour les siens, le pluis puissant guerrier que la Terre est connue.
Un silence de fer s'était abbatue aux alentours, et Argarante n'entendait que trés rarement le bruit du vent, s'abattre contre les arbres étonnement silencieux. Il marchait, courrait desfois, pour essayer de tomber sur ce royaume, pour tenter de trouver un but à sa vie. Mais au fur et à mesure qu'il avançait, les champs disparaissaient, laissant place à de gigantesques plaines, poncyuées quelques fois par des courants d'eau. Il ne voulait se rendre à l'évidence, il ne voulait avouer qu'il était bel et bien perdu, et qu'aucun royaume ne surplombait les alentours ...
Soudain, ses yeux tombèrent, de fatigue peut-être. Il tomba au sol, puis s'endormit ...
Une légere douleur à l'avant bras le fit se réveiller, puis sursauté. Son visage se transforma d'un seul coup, laissant place à une profonde peur, immobilisant tout les traits de sa figure désormais humide. Il se leva brusquement du lit où il était allongé, se demandant avec angoisse où il était, puis se rendit compte qu'il se trouvait dans une pièce, avec un lit, d-hôpital sûrement, une table de chevet, aussi ronde que les fenêtres qui se comptaient par dizaines dans cette petite pièce. Une faible lumière sortait d'une lampe, posé à même le sol... Il prit ses affaires posès dans le recoin de la pièce, les enfilla, puis poussa la porte pour sortir, des goutlettes de sueurs ruisselant sur son visage. Elle était fermé! Il sentit une grande chaleur dans tout son être, tandis que des bruits se fesaient entendre derrièere la porte. D'un geste maladroit, il défonça la porte avec son pied, ce qui produisit un vacarme épouvantable. Plusieurs personnes le dévisagea du regard, des infirmiers peut-être, et il ne fallut pas attendre plus de cinq secondes avant qu'Argarante ne courrent vers la sortie.
Il courrait à présent péniblement, à travers cet endroit qu'on aurait cru pour hopital, et au fur et à mesure qu'il avançait, l'obscurité se fesait de plus en plus forte. Après quelques minutes de fuite, il trouva enfin une sortie, où il n'hésita pas à se faufiler ... Il ouvrit la porte ...
Son visage se décomposa, lentement, de même que son corps, à présent immobilisé. Aucuns son ne sortit plus de sa bouche, ce fût un spectacle lugubre qu'il eut devant lui. L'obscurité battait son plein dans cette hostile ville, et le ciel était maintenant d'un noir effrayant. Des centaines de corbeaux volaient devant lui, avec parfois une lettre dans leur bec. Mais ceci n'était rien, comparé aux gens qui passaient de temps en temps devant lui: Ils étaient le plus souvent sur de grands chevaux noirs, du moins ils y ressemblaient, portant de longs costumes d'un rouge sang, se trémoussant sur leur montures, sans regarder le jeune Argarante. Il ne distinguait pas tout les détails, il ne pouvait les distinguer, l'obscurité était vraiment trop forte. En effet, de nombreus nuages rouges foncés venaient s'enfoncer dans le ciel d'un noir éclatant, laissant parfois apparaitre de nombreux petits points jaunes: les étoiles peut-etre ???
Malgré la peur qu'il l'envahissait de secondes en secondes, il se devait d'avancer, de s'en aller.. de savoir où il était .. Il marcha alors vers sa gauche, et exclama un grand "Wouhh" , lorsqu'il vit la grande avenue s'ouvrir devant lui. Elle devait bien être aussi grande que toute sa petite ville de naissance. Il continuait son chemin, se tenant loin des gens qui le regardait bizarrement: à en croire leur visage, ils avaient plus peur que lui ... Mais ou était-il donc ??? 2ème partie Aprés avoir passé plusieurs bars, il décida de s'aretter à l'un deux. Sur la vitre de celui ci, on pouvait lire une phrase, grossierement écrite : " Venez, ou l'on vous pendra ". Ses sourcils se haussèrent lorsqu'il parcourut des yeux ce slogan, et sa réaction ne se fit attendre. Il commença alors à pousser la porte qui menait au bar, il entra, et la porte se referma brusquement dèrriere lui. Un silence de mort regnait à présent dans la salle, et personne n'osait plus dire mots. Des hommes, mais aussi des elfes, des trolls, et des démons, regardaient Argarante d'un air affollé, comme si la potence leur était assuré. * Que craignait-il ?? *. Il s'avança, d'un pas mal assuré, vers la table la plus proche, et s'assis sur une des chaises, laissant s'envoler de la poussière, plein de poussière. Un elfe, là bas au loin, baissa ses yeux brusquement lorsque
celui ci le regardait. Il ne savait ce qui se passait ici, ni pourquoi les personnes de ce bar avaient peur de lui, mais à peine avait-il eu le temps de plonger dans ses pensées, qu'une voix brisa le silence ..> Je vous sert quoi, maître ? <D'un vague haussement de sourcil, il lui répondit, calmement .. > Maître ? <Le serveur recula maladroitement, fesant tomber une chaise derrierelui. Après l'avoir ramassé, il répondit à Argarante, l'air grave ..> On vous croyait mort lors de ..<Argarante ne pouvait plus se retenir désormais, il avait besion de comprendre, de savoir pourquoi il se trouvait là, au beau milieu d'une ville hostile, sombre et anormalement inhumaine ...> Je vous demande pardon .. Mais je ne vous connais pas ... <assura le jeune guerrier, balayant la salle d'un regard interrogateur. Le visage du serveur prit alors une teinte rose pâle, et il regagna son bar, honteux mais à la fois toujours aussi appeuré. Argarante se leva d'une mouvement brusque, fesant tomber le cendrier posé sur la table, et s'avança vers le mysterieux serveur, qui avait maintenant sortit son glaive. Argarante apprit de ce serveur, Barghahan de son nom, qu'il l'avait prit pour le maître du royaume, un homme tyranique, profondément méchant, qui n'hésitait pas à massacrer des enfants, des femmes, des familles, pour s'amuser... Il apprit aussi qu'il se trouvait entre deux mondes, et qu'il était coincé ici, comme tout les autres. Personne ne savaient pourquoi ils étaient arrivés là, ni comment.
Leur discussion s'arreta rapidement, car le serveur devait aller aux fourneaux. Argarante profita du moment pour sortir du bar, pensant aux nombreuses choses qu'il venait d'apprendre. Il marchait toujours dans la grande avenue, cette fois d'un pas plus assurant, plus sûr, il devait être surement habitué à cette ville, maintenant. Après une pénible épopée dans cette géante avenue, il arriva enfin dans une toute petite ruelle, très mal éclairée. L'obscurité qui raignait sur cette Terre ne l'aidait pas a mieux y voir, mais il devait continuer à avancer, il avait vu une pancarte indiquant qu'une auberge était dans le coin. Plus loi, à 100 mètres d'ici, il vit une vague forme humaine se dessiner, puis petit à petit, il arrivait à reconstituer ses contours. Il s'agissait d'un homme, avec une chevelure épaisse, un costume marron foncé, et un glaive à la main: il semblait inquiet, et cela se ressentait sur sa façon de marcher. Argarante décida de l'aborder, pour lui demander ce qui n'allait pas .. Soudainement, il prit peur, et s'enfuiya à toute allure. Argarante n'avait pu distinguer qu'une seul mot de lui, il avait dit "maître", il en était sur.Ca vous à plus ??? Je suis pas très doué, je trouve que je fais pas passer assez d'émotions  qu'on a du mal à suivre l'histoire ... .. Mais bon, pas grave, ça m'a fait plaisir !!! lol 
Dernière édition par le Dim 19 Mar à 19:52, édité 5 fois | |
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