Tout est calme, le soleil se couche au loin, comme à la normal par cette saison. Quelques oiseaux chantent encore les dernières notes du jour, le vent les accompagne dans leur mélodie du haut de la cime des arbres en fouettant violement les feuilles. À l’orée de la forêt une petite maison en torchis légèrement bruni par le temps, avec un toit de paille qui aurait bien besoin d’être réparer en de nombreux endroit, laissant passer l’air frais et agréable l’été et le vent glacial l’hiver. Cette maisonnée est le théâtre d’un des plus beau spectacle qu’il est donné à un homme de voir : la naissance d’un enfant.
Sur l’énorme table branlante, un sceau emplit d’eau fume gaiement, plus loin, sur la pile de paillasses servant de lit, une femme allongé sur le dos les jambes redressées crie à la mort, elle est en train d’accouché, on a envoyé cherché mais ma sage femme n’est point encore la. Penché face à elle, son mari la rassure :
« Tout ira bien, tu verra. On l’appellera Muse89 comme tu l’as toujours voulu, tiens bon. » A ces mots, elle sourit.
Soudain une contraction... Elle souffre. Encore une, et une autre, tout à coup, le voila.
Il est là, l’enfant responsable de tant de douleur.
Heureux, l’homme regarde sa femme en lui montrant le bébé tant qu’il pouvait face à la résistance du morceau de chair bleu reliant les deux êtres.
Ne voyant pas de réaction, il s’inquiéta : « Malfreude ?? Malfreude tu m’entends ???? ».
C’est à ce moment que la porte s’ouvra sur Guialem et la sage femme qui se précipita sur le corps apparemment sans vie. Après un examen rapide elle conclu à la mort et se rendit près de l’homme et pris le nouveau né dans ses bras, avant de déclaré : « elle n’est plus parmis nous, fait le nécessaire je m’occuperais de trouver une nourrice pour le petit ».
L’homme abattu par la nouvelle s’écrassa à genoux et hurla jusqu'à plus rompre surpassant mes les pleures, pourtant vifs et rigoureux de l’enfant.
Ce dernier causait l’étonnement de l’accoucheuse qui en voulant analysé la coupure du corton aperçu, à la faveur d’un rayon de soleil devenu rouge et non plus orangé, que le sang formait six lettres : « MUSE89 » dit-elle tout haut.
L’homme toujours au sol, releva la tête : « que dites-vous ??? »
« MUSE89 » répéta bien distinctement la vielle femme décrépie depuis longtemps dépourvu de charme et encore bien plus longtemps de quelconque attrait de beauté. Interloqué, le père se releva avec empressement et se rua sur la sage femme et lui montra d’un signe de tête les six lettres sanglantes qui ornaient le ventre flasque de se bambin meurtrier avant l’heure. Le père pensant que par ce message pour le moins sinistre, sa tendre et cher Malfreude lui conjurais de garder l’enfant, c’est ce qu’il vit.
C’est ainsi que dix ans plus tard, son père lui avait appris tout ce qu’il savait et que tout comme lui son fils était devenu bûcheron. Il possédait le poignet le plus souple et le plus agile des terres d’argents. Sans cesse il défiait son père et pas une fois il perdit, si ça lui était arrivé, de souvenir point n’en avait-il.
Il participait souvent contre son père à de petites jutes ou là encore, depuis deux ans il n’y de combat qu’il n’ai pas gagner.
Il était devenu très puissant physiquement et très souple d’esprit. Tout ce passait bien dans cette forêt, jusqu’au jour où il vit son père se faire tué par deux brigands. Sans réagir il avait assisté à la scène, il attendit que les deux marauds se jette sur la débouille de son père pour approcher à pas de loup et d’un geste rapide et précis trancher ses deux adversaires qui ne sauront jamais qui les a tués. Il resta là, contemplant le cadavre de son père sur lequel gisaient ses deux assaillants.
Ce fut, il le croit encore, à ce moment précis qu’il se persuada qu’il était fait pour mener une vie comme celle-la, fait de meurtres et de combats. Rentrant chez lui il prit, en plus de sa hache qui, il en était sur, lui servira encore, tout ce dont il pourrait avoir un jour besoin.
Ensuite il s’engagea sur le chemin l’éloignant de cette maison, qui aujourd’hui en flammes, l’avait vu naître et grandir. C’est depuis ce jour que Muse89 s’est juré d’entrer dans l’histoire comme l’un des plus grand assassin.
C’est à 17 ans qu’il eut l’occasion (qu’il ne rata pas) de tué à nouveau. Et cette seconde expérience de la mort lui confirma une fois de plus qu’il ne pouvait et ne devait vivre que pour ça : connaître le plaisir du sang et de la douleur ressentie chez les autres.
Durant de nombreuses années qui suivant cette révélation, Muse89 se montra particulièrement sanglant et meurtrier. Lorsque l’on parlait de lui, on frissonnait de peur qu’il n’entende même le seul son de son nom.
Ce n’est que récemment alors qu’il n’aurait jamais du en être ainsi que Muse89 se rendit compte qu’il n’était pas sur le bon chemin pour entrer dans la légende, et que se qu’il faisait était mal. C’est pourquoi il décida de changer, de se repentir et pour ça, quelle autre guilde choisir que la très renommé « guilde des clairs de lune », il ne le savait. Connaissant assez bien leurs coutumes, qui étaient l’opposé des siennes, il entra avec leur bénédiction, parmis eux.
En jurant de lutter contre le mal il ne savait pas alors que ce nouveau clan allait le mener à la raison et à la paix intérieure qu’il ne trouvaient plus en lui depuis quelque temps. Il trouva une nouvelle famille dans ces nouveaux compagnons qu’étaient les siens. Grâce à eux et à leurs enseignements Il apprit beaucoup tant sur lui que sur la vie, et se rendant comptant compte du mal et des désastres qu’il avait causer autour de lui il entreprit une vie de pénitent dans laquelle les autres auraient une place certaine et assurée, il s’autoproclama chevalier servant de la veille et de l’orphelin venant en aide aux malmenés et aux épleurés. Il repris l’épée, mais non plus pour apporté la désolation mais la justice sur les terres d’argents.
Le voici aujourd’hui un défenseur acharné de la liberté et des faibles.
HRP : et voila mon RP por passer chez les Beltaine
j'ai fais de mon mieux
Merci.