Skat s'était assis en haut d'une colline et regardait le paysage. Il revoyait filer dans sa tête ses 400 dernières années, dont les 380 qu'il avait passé avec ses amis du Clair de Lune. Aujourd'hui, après de rudes épreuves, d'ardents combats, il était enfin arriver à "l'âge de la fin". Désormais, il allait enfin pouvoir s'habiller de la sorte dont il avait toujours rêvé. Ce jour tant attendu, le jour où il pourrait enfin se revetir d'une tenue séraphine ....
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Rentre à la forteresse et monte dans ses loges
"Il faut que je leur montre" se disait Skat .
Il s'empressa de jeter ses vieux habits sur son lit, puis ouvrit l'armoire à coté de la porte, pour enfin prendre ses nouveaux vêtements.
"Ils vont être étonnés, je ne suis plus le petit Skat d'autrefois maintenant... "
Fin prêt, Skat ajusta ses cheveux d'un geste bref, sortit de ses appartements, puis se diriga en direction de la salle commune ...
Arrivé au seuil de la salle, Skat ouvrit lentement celle-ci, puis découvrit petit à petit ses amis, tous occupés avec leur babioles.
Les uns discutaient, tandis que d'autres se chamaillaient. Soudain, il y eu un bruit sourd tel qu'un "iiii" retentit, et la porte derrière Skat se referma. A ce moment, tous les regards se tournèrent en direction de Skat. Le silence qui régnait dans la salle signifiait énormément de choses pour Skat. Il était fier de voir tous ces visages tournés vers lui ...
Un léger "Skat" parvint à mes oreilles. Skat observait la salle de droite à gauche, puis profité du silence pour prendre la parole :
"Mes amis, voici enfin le jour pour moi de vous annoncer une nouvelle qui me tient à coeur. Comme, vous pouvez le constater, je me suis revetus d'une nouvelle tenue, dont je suis très fier. Aujourd'hui, j'ai 400 ans et je porte sur moi l'équipement séraphin, aux pouvoirs divains. N'ayez pas peur mes amis, je reste le même et j'espère que vous me traiterez de la même manière. Chers camarades, je suis heureu de fêter mon anniversaire, ici avec vous !"
Skat se tut quelques secondes, puis le même silence régnait, il descndit alors les escaliers pour se rendre près des siens, ceux auprès desquels il a toujours été ....